Comme dans le privé, la fusion des instances des représentants du personnel va entraîner une accumulation des questions à traiter dans une même instance, où les enjeux de la santé au travail, des conditions de travail risques de ne plus être prioritaires. Cela fait courir un risque sur la santé des agents mais entraîne également un accroissement de la responsabilité des encadrants et in fine de l’exécutif qui ne bénéficiera plus d’un dispositif d’alertes et de préconisations au plus proche du terrain.